Le syndrome japonais
Présence du futur est une collection de romans de science-fiction lancée par les éditions Denoël en 1954.
Robert Oppenheimer est le papa de la bombe atomique américaine.
On comprendra pourquoi je suis favorable à l'avortement.
En 1979, la centrale nucléaire de Three Miles Island, dans l'Est des États-Unis, a connu un accident grave qui a provoqué le rejet d'éléments radioactifs, officiellement sans conséquences sur la santé publique.
En 1986, la fusion d'un réacteur de la centrale de Tchernobyl (Ukraine) a déclenché une pollution radioactive de très grande ampleur. Le "nuage" ainsi formé n'a, HEUREUSEMENT, pas survolé la France... Du moins, d'après les autorités et d'après Michel Chevalet, parti avec un compteur Geiger ausculter les salades sur les marchés parisiens pour le journal télévisé.
Un grand moment de comique journalistique !
La catastrophe de Fukushima (Japon) est probablement le plus grave accident nucléaire qui se soit jamais produit.
On vit une époque intéressante.
Il a raison, Phil : Ca aurait été dommage de ne pas la mettre !
RépondreSupprimerMais non, là ce n'est pas grave, ce n'est pas un nuage radioactif, juste un panache.
RépondreSupprimerC'est une vieille malédiction chinoise, ça: Puissiez-vous vivre en des temps intéressants!
RépondreSupprimerEuh, Three Miles Island, c'était plutôt en 1979 (mon année "fétiche" en Pop zizique & Cinoche).
RépondreSupprimerLes Américains toujours aussi efficaces dans leur réactivité (ou vice versa) ont sorti dans les mois qui suivent "Le Syndrome Chinois"...justement, film avec (ta copine que tu adores en rousse) Jane Fonda et "No Nukes", un triple album Live "engagé" (également l'un des luxueux dormeurs vinyliques de ma collection) auquel participa une grosse portion du gotha folk/rock de ces 70ies à bout de souffle.
Au temps pour moi, 1974, c'est la date de mise en service de Three Miles... Voilà, c'est rectifié. Merci Oro.
RépondreSupprimerJe t'en prie, ZAIT.
RépondreSupprimerEt au temps pour moi aussi car le old good movie avec l'éternelle Barbarella louchant désormais du coté de Cassandre, le futur mateur des (sans)dessous de Sharon et l'ex-travesti qui ici ne nous fit plus marrer du tout (...but Nobody's Perfect) est en réalité sorti au States une semaine avant la dramatique alerte.
Peut-être bien (va savoir) que le film aura quelque peu boosté l'impact de l'évènement sur les compatriotes toujours fort impressionnables d'Orson Welles. Bon, à leur décharge (de protons), faut reconnaître que sur ce coup là, c'était pas "bidon".
Mais c'est sur l'aval du temps écoulé nécessaire pour que la dite bobine alarmiste dûment postsynchronisée franchisse les frontières bientôt réfractaires aux nuages radioactifs derrière lesquelles se complaisent plusieurs millions de stoïques incrédules ...que s'appuyait bien sûr, mon révérenciel de souvenirs pour le moins volatil(e)s.
Donc, merci à l'espèce de kiwi (au long bec) de m'avoir entre temps replacé la puce dans l'oreille.
Dernière anecdote gratuite sur ma " Very Good Year "(It Was) ...sans trop gloser sur le lien entre (grande) cause et (petits) effets.
RépondreSupprimerLe groupe Blondie featuring Debbie Harry - autre Bombe (sexuelle) s'il en fut - nous y offrait son tube "Atomic" en guise de jalon sonore (Ah ! J'ai toujours eu coupable faiblesse pour les batteurs qui "bétonnent").
Tu dois bien te souvenir ZAIT, de ce morceau qui pour ma part à l'époque, cartonnait à fond dans les ducasses (foires à manèges chez les Ch'tis).
Blondie et sa Debbie Harry extravagante, oui, je me souviens. Métal Hurlant lui avait consacré une bio en Bd assez salée (dessin de Chaland, je crois...)
RépondreSupprimerYves Chaland !
RépondreSupprimerAh, encore un Artiste fauché en pleine créativité.
Merci du complément d'info, ZAIT.