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Exposition science et science-fiction à La Vilette. (11)

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La faune de l'espace. (*) Suite de l'exposition... Après un passage consacré aux univers virtuels (avec les costumes de Matrix et de Tron ) et aux sociétés futuristes dystopiques (avec les costumes de l' Age de Cristal de Michael Anderson (1976) et de La Planète des Singes , la version de 2001 par Tim Burton - par certains égards plus fidèle au roman de Pierre Boulle que la première adaptation de 1968 ), voici les extra-terrestres : une statue grandeur nature du 8e passager du Nostromo ( Alien , 1979), les uniformes des Visiteurs reptiles nazis de l'espace de V , la série tV des années 80, et les masques de quelques extraterrestres de La Guerre des Étoiles (Starwars - a new hope) quand elle ne s'appelait pas encore épisode 6.  On reconnaît notamment Greedo , le tireur que Yan (pas encore Han) Solo abat à travers la table de la cantina (avant que George Lucas , le réalisateur, ne bricole le montage de la scène pour essayer de donner l'illusion que Solo

Exposition science et science-fiction à La Vilette. (10)

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Suite de l'exposition dans sa partie consacrée aux robots. On reconnaît Maria de Métropolis (Fritz Lang - 1927), le Terminator (série T-800) de James Cameron (série B -1984) et un robot jouet rapidement croqué. J'avais un petit coup de pompe et j'ai bâclé la pauvre Maria (surtout les pieds.) LE SAVIEZ-VOUS ? Le mot " robot " aurait été forgé par Josef Capek, le frère de l'écrivain tchèque Karel Capek , et employé pour la première fois dans la pièce d'icelui R.U.R. (Rossum's Universal Robots) , créée en 1921 à Prague. Le terme robot dérive du mot "travail" en langue slave. Prague est également la ville du Golem , le géant d'argile animé par les signes cabalistiques gravés sur son front pour protéger la communauté juive.

Exposition science et science-fiction à La Vilette. (8)

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Suite de l'expo avec un costume de Necromonger, un méchant des Chroniques de Riddick (2004). Riddick est un personnage apparu dans le film Pitch Black (2000), incarné par Vin Diesel . Criminel en fuite, il devient un conquérant au terme des Chroniques . Un film esthétiquement très réussi. Il apparaît aussi dans un court-métrage animé, Dark Fury . Huit costumes du film sont exposés. Hélas ! Je n'ai pas le temps de les croquer tous. A côté, on entend l'intro tonitruante de la bande originale du premier Star Trek qui passe en boucle. Sont exposés la maquette de l' Enterprise (modèle Next Generation ) et les uniformes de Star Fleet (pour les amateurs de chemises en licra et de galons en papier alu.) Au bout de dix minutes, la musique devient exaspérante !  Je fuis. Plus loin, une pièce consacrée aux pulps (les romans populaires bons marchés des années 20 à 50), avec de superbes couvertures, aux romanciers de SF et à quelques jouets. J'en profite pour poster une cou

Exposition science et science-fiction à La Vilette. (6)

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Le Viper de la série Galactica sous un autre angle. (J'ai toujours tendance à raboter son museau - il est beaucoup plus allongé.) Une tenue de vol d'un pilote. Il s'agit d'un pilote de la série récente. Les tenues de la série des années 70 avait un look "égyptien" afin de coller à la "thématique" de la série (la transposition dans le space opera de la diaspora biblique...)

Exposition science et science-fiction à La Vilette. (3)

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Les prolos de l'espace ! Suite de l'exposition à La Vilette avec ces deux combinaisons issues des films Outland (Peter Hyams - 1981) et Armageddon (1988). Ces films mettent en scènes des "prolétaires" de l'espace. Dans Outland , l'action se déroule sur une station minière d'Io, une lune de Jupiter, où la population est en proie à une mystérieuse épidémie de suicides. Le scénario est en fait un remake de High noon - Le train sifflera trois fois (1952) où le héros, un marshall incarné par Sean Connery , doit affronter une bande de tueurs envoyés pour l'éliminer. Les costumes spatiaux ont été conçus par John Mollo . Le casque est équipé de projecteurs latéraux et d'une guirlande de lampes qui encadrent la visière lui donnant l'allure d'une mâchoire de requin. Armageddon raconte l'expédition d'une équipe de mineurs sur un astéroïde dont la trajectoire menace notre planète pour y disposer des charges explosives afin de le détrui

Exposition science et science-fiction à La Vilette. (2)

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Suite de l'exposition avec la combinaison d' Ed Harris dans le film Abyss de James Cameron (1989). Il s'agit plutôt d'un scaphandre de plongée autonome pour une rencontre du troisième type sous-marine. Le plongeur respire grâce à un mélange saturé d'oxygène afin de supporter la pression. Puis, une combinaison du film Event Horizon, Le Vaisseau de l'Au-Delà (1997), qui mêle science-fiction et fantastique. En tentant un saut dans l'hyper-espace, l'équipage ouvre une porte de l'enfer. Notez les petites loupiotes de part et d'autre du casque. Enfin, le scaphandre des astronautes d' Alien, le 8e passager (1979), le classique de Ridley Scott , un design de Moebius et John Mollo   inspiré des armures de samouraï. LE SAVIEZ-VOUS ? C'est le Russe Konstantin Tsiolkovski qui imagine en 1903 le principe de la fusée à réaction , et ce, bien avant que Von Braun expérimente ses premières fusées (en lançant des missiles sur Londres !)

Exposition science et science-fiction à La Vilette. (1)

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En ce moment, se tient une exposition consacrée au genre science-fiction à La Vilette. Les organisateurs ont très bien fait les choses : les grands thèmes de la science-fiction sont abordés à travers le prisme de la littérature, du cinéma, de la bande dessinée et mis en perspectives par des points sur l'état actuel des connaissances et des théories scientifiques. L'imaginaire côtoie la science pour le meilleur. Je m'y suis rendu jeudi et j'y ai bien passé cinq heures (et, du coup, je n'ai pu me rendre à l'exposition consacrée à Manchu qui se déroule au même moment à la bibliothèque de La Vilette. Rage !) J'ai ramené quelques croquis que je vais dévoiler à mesure que je les aurai colorisés. Les premiers sont consacrés à l'exposition des combinaisons spatiales telles qu'elles apparaissent dans différents films de science-fiction. La première, issue du film Sunshine (2007), toute dorée, m'évoque un apiculteur de l'espace. Elle est cou