Le général Mandon, à qui on n'a rien demandé, nous demande d'« accepter de perdre nos enfants », probablement téléguidé par Macron en quête de buzz. Lorsque la situation politique intérieure est bloquée au point que le régime tremble, une "bonne guerre" a l'avantage de "ressouder le peuple", refaire "l'Union (ma)sacrée", faire taire les opposition et relancer l'économie. Sans moi. Et Sans mes enfants. Pas de chair à canon pour enrichir les marchands de morts. D'autant qu'on prévoit de nous demander encore de nous serrer la ceinture dans le cadre d'un "effort de guerre" hypothétique. La sortie du traîneur de sabre m'a rappelé une couverture de Métal Hurlant (#metalhurlant) du regretté Yves Chaland que j'ai parodiée. J'espère que Jean-Pierre Dionnet n'en prendra pas ombrage. Voici la parodie. Voici les étapes de production. Voici l'original. La couverture m'avait déjà inspiré par ai...