Le roman, oui. C'est le film que j'avais en tête. L'adaptation est de Grangier, Audiard et Simonin. Mais tu as raison, je vais rectifier. Après tout, je suis censé parodier des couv' de romans (même si tu auras remarqué que je mélange allègrement les supports.)
(après, Michel Audiard, je trouve qu'on lui taille un mythe un peu trop grand en comparaison à sa contribution réelle au genre... d'ailleurs, lorsque l'on s'exclame "c'est du Audiard" à propos d'une tournure de phrase argotique entendue dans un film, eh bien, très souvent, la phrase en question, c'est plutôt du Simonin !)
Faut savoir rendre à César ce qui appartient à Jules et les gardes seront bien vachers. (De préférence, derrière l'église.)
Maintenant, c'est déjà bien beau qu'on reconnaisse Audiard... N'oublions pas qu'il était diabolisé dans les années 70-80 avant d'être réhabilité dans les années 90-2000... Action-réaction (sanction ?) On exagère toujours dans les deux sens.
Le principe des 24 heures de la nouvelle est d'écrire en 24 heures une nouvelle à partir de contraintes dévoilées au début de l'épreuve. le prochain numéro de la revue Gandahar présentera un échantillon de ces nouvelles remaniées pour l'occasion (plus de précisions à cette adresse : http://associationgandahar.blogspot.fr/ ) ;) La couverture doit donc reprendre cette idée. Au départ, j'avais ce dessin en tête : Ce dessin d 'Edgar Pierre Jacobs est adressé le 26 septembre 1953 à Raymond Leblanc , le fondateur du journal de Tintin , à l'occasion des sept ans du journal. Sous couvert d'anniversaire, Jacobs règle ses comptes avec Hergé , le rédacteur en chef du journal. En effet, cette même année, Jacobs proposait un projet de couverture pour le lancement de la nouvelle aventure de Blake et Mortimer, La Marque Jaune dans le périodique... Cette couverture fut jugée par Hergé trop impressionnante pour un journal destiné à la jeunesse...
C'est fait exprès l'ombre assez prononcée sous le nez ? ^^
RépondreSupprimerPas du tout. Que vas tu donc imaginer... ^^
RépondreSupprimerle Cave se Rebiffe, c'est du Albert Simonin, pas du Audiard...
RépondreSupprimerLe roman, oui.
RépondreSupprimerC'est le film que j'avais en tête.
L'adaptation est de Grangier, Audiard et Simonin.
Mais tu as raison, je vais rectifier.
Après tout, je suis censé parodier des couv' de romans (même si tu auras remarqué que je mélange allègrement les supports.)
je m'en doutais un peu ;)
RépondreSupprimer(après, Michel Audiard, je trouve qu'on lui taille un mythe un peu trop grand en comparaison à sa contribution réelle au genre... d'ailleurs, lorsque l'on s'exclame "c'est du Audiard" à propos d'une tournure de phrase argotique entendue dans un film, eh bien, très souvent, la phrase en question, c'est plutôt du Simonin !)
Ah, l'exposition médiatique...
RépondreSupprimerVoilà qui est dit.
Faut savoir rendre à César ce qui appartient à Jules et les gardes seront bien vachers. (De préférence, derrière l'église.)
Maintenant, c'est déjà bien beau qu'on reconnaisse Audiard... N'oublions pas qu'il était diabolisé dans les années 70-80 avant d'être réhabilité dans les années 90-2000... Action-réaction (sanction ?) On exagère toujours dans les deux sens.