Dans ses traductions de matières premières désordonnées du Comic book de chez DC "The Metal Men", Artima avait d'ailleurs rebaptisé "Fernand" aussi, leur membre robotique à la base nommé "Iron".
Cela me sembla fort judicieux pour celui qui restait souvent le "métallo" de service question manoeuvres laborieuses dans les petites et grandes entreprises de ce curieux collectif de transformistes Métaliens plus ou moins "précieux".
J'en avais touché un mot au sein de quelques "Cases mémorables" ...les (Manufactures de St. É)tiennes qui font BuZZ, bien entendu !
Les noms des metalmen/Métaliens étaient effectivement bien trouvés (fer = Fernand, or = Oreste, étain = Stan etc.) mais nous avions abordé ce thème sur le blog d'Alain Chevrel ici : http://roa.over-blog.com/photo-1568428-couv-Fernand_jpg.html
Fernand des éditions Roa rappelle beaucoup le robot Archie. Je m'en suis inspiré pour la physionomie de Fernand - et aussi de mon premier super-héros, mon grand-père Lucien (de son vrai prénom, Marius !) qui m'a acheté mon premier Strange.
SACRÉ MARIUS ! Le grand-père que tu ne archi-remercieras jamais assez.
Quant au sidekick si admiratif de son robuste Fernand (cf. "C'est l'histoire d'un mec ...de 110 kg, etc."), lequel est autrement plus sympathique qu'un certain (incertain, même !) mystère Kline, eh bien, quelque chose me dit qu'il doit beaucoup ressembler au petit gars de Clermont-Ferrand qui était déjà plus que "pas personne", 1 mois et 5 jours après "Septembre 76".
Si tu me passes cet emprunt paraphrasé de métal lourd bien de chez nous (french Heavy Metal) soucieux avant tout de ne pas lâcher ce monde de l'entreprise tant malmené de nos jours (la mondialisation, les lobbies, les TRUSTs ...).
Le principe des 24 heures de la nouvelle est d'écrire en 24 heures une nouvelle à partir de contraintes dévoilées au début de l'épreuve. le prochain numéro de la revue Gandahar présentera un échantillon de ces nouvelles remaniées pour l'occasion (plus de précisions à cette adresse : http://associationgandahar.blogspot.fr/ ) ;) La couverture doit donc reprendre cette idée. Au départ, j'avais ce dessin en tête : Ce dessin d 'Edgar Pierre Jacobs est adressé le 26 septembre 1953 à Raymond Leblanc , le fondateur du journal de Tintin , à l'occasion des sept ans du journal. Sous couvert d'anniversaire, Jacobs règle ses comptes avec Hergé , le rédacteur en chef du journal. En effet, cette même année, Jacobs proposait un projet de couverture pour le lancement de la nouvelle aventure de Blake et Mortimer, La Marque Jaune dans le périodique... Cette couverture fut jugée par Hergé trop impressionnante pour un journal destiné à la jeunesse...
Dans ses traductions de matières premières désordonnées du Comic book de chez DC "The Metal Men", Artima avait d'ailleurs rebaptisé "Fernand" aussi, leur membre robotique à la base nommé "Iron".
RépondreSupprimerCela me sembla fort judicieux pour celui qui restait souvent le "métallo" de service question manoeuvres laborieuses dans les petites et grandes entreprises de ce curieux collectif de transformistes Métaliens plus ou moins "précieux".
J'en avais touché un mot au sein de quelques "Cases mémorables" ...les (Manufactures de St. É)tiennes qui font BuZZ, bien entendu !
Les noms des metalmen/Métaliens étaient effectivement bien trouvés (fer = Fernand, or = Oreste, étain = Stan etc.) mais nous avions abordé ce thème sur le blog d'Alain Chevrel ici :
RépondreSupprimerhttp://roa.over-blog.com/photo-1568428-couv-Fernand_jpg.html
Fernand des éditions Roa rappelle beaucoup le robot Archie. Je m'en suis inspiré pour la physionomie de Fernand - et aussi de mon premier super-héros, mon grand-père Lucien (de son vrai prénom, Marius !) qui m'a acheté mon premier Strange.
SACRÉ MARIUS ! Le grand-père que tu ne archi-remercieras jamais assez.
RépondreSupprimerQuant au sidekick si admiratif de son robuste Fernand (cf. "C'est l'histoire d'un mec ...de 110 kg, etc."), lequel est autrement plus sympathique qu'un certain (incertain, même !) mystère Kline, eh bien, quelque chose me dit qu'il doit beaucoup ressembler au petit gars de Clermont-Ferrand qui était déjà plus que "pas personne", 1 mois et 5 jours après "Septembre 76".
Si tu me passes cet emprunt paraphrasé de métal lourd bien de chez nous (french Heavy Metal) soucieux avant tout de ne pas lâcher ce monde de l'entreprise tant malmené de nos jours (la mondialisation, les lobbies, les TRUSTs ...).
Tous solides et solidaires !