Les muets du sérail
Plein de dessins de moi dans le derneir AP du SNETAA (mars-avril 2013, n° 531) :
Celui-ci, en couv'
Les "muets" du sérail, c'est ainsi qu'on surnommait les députés sous le Second Empire, uniquement élus (au suffrage universel direct, héritage de la Deuxième République) pour approuver les décrets de l'Empereur.
Je me demande pourquoi on a voté socialiste si c'est pour garder la même politique.
D'autant plus qu'on sait que la gauche comme la droite ont un socle d'électeurs insuffisant pour conquérir le pouvoir avec son seul soutien : faut toujours séduire la masse fluctuante des autres électeurs qui votent en fonction de l'offre, comme lorsqu'ils choisissent leur forfait téléphonique.
Là où je m'interroge, c'est pourquoi, une fois au pouvoir, la gauche n'a rien de plus pressé que d'entamer son assise électorale par des "réformes" de régression sociale alors que les électeurs fluctuants se détournent déjà d'elle ?!
Et, après, les candidats battus font les étonnés parce qu'ils n'ont même pas fait le plein habituel de leurs voix ! (Comme Jospin en 2002.)
Ding dong, les gars, les échéances approchent, elles seront dures et le coup du vote républicain, ça ne marche qu'une fois.
Lecteur, sauras-tu trouver la modification ?
Faut dire que d'aucuns sont chagrins qu'on tape sur le parti au pouvoir.
Moi, je suis chagrin qu'il tape sur nos acquis sociaux.
Flute : j'ai oublié le point d'interrogation dans la bouche de Vince.
Un petit schéma explicatif pour ceux qui n'auraient pas compris.
La "mondialisation heureuse", c'est à partir d'un revenu mensuel à cinq chiffres.
Et un petit dernier pour la route (toujours un décalage entre réalisation et publication).
Celui-ci, en couv'
Les "muets" du sérail, c'est ainsi qu'on surnommait les députés sous le Second Empire, uniquement élus (au suffrage universel direct, héritage de la Deuxième République) pour approuver les décrets de l'Empereur.
Je me demande pourquoi on a voté socialiste si c'est pour garder la même politique.
D'autant plus qu'on sait que la gauche comme la droite ont un socle d'électeurs insuffisant pour conquérir le pouvoir avec son seul soutien : faut toujours séduire la masse fluctuante des autres électeurs qui votent en fonction de l'offre, comme lorsqu'ils choisissent leur forfait téléphonique.
Là où je m'interroge, c'est pourquoi, une fois au pouvoir, la gauche n'a rien de plus pressé que d'entamer son assise électorale par des "réformes" de régression sociale alors que les électeurs fluctuants se détournent déjà d'elle ?!
Et, après, les candidats battus font les étonnés parce qu'ils n'ont même pas fait le plein habituel de leurs voix ! (Comme Jospin en 2002.)
Ding dong, les gars, les échéances approchent, elles seront dures et le coup du vote républicain, ça ne marche qu'une fois.
Le jeu des 7 erreurs.
J'ai accepté de modifier le dessin initial.Lecteur, sauras-tu trouver la modification ?
Faut dire que d'aucuns sont chagrins qu'on tape sur le parti au pouvoir.
Moi, je suis chagrin qu'il tape sur nos acquis sociaux.
Flute : j'ai oublié le point d'interrogation dans la bouche de Vince.
Un petit schéma explicatif pour ceux qui n'auraient pas compris.
La "mondialisation heureuse", c'est à partir d'un revenu mensuel à cinq chiffres.
Et un petit dernier pour la route (toujours un décalage entre réalisation et publication).
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